#VIVASNCF – e.client : une mobilité partagée, durable, personnalisée

Tous les jours, SNCF transporte deux milliards de voyageurs en France et fait rouler 17 000 trains. Avec une offre de plus de 33 millions de trajets possibles, et 31,3 millions de sessions mensuelles via le site et l’application, OUI.sncf reste le champion du e-commerce de l’hexagone.

Au-delà de la réservation de billets, les nouveaux besoins de mobilité émergent au fil de l’eau. SNCF souhaite y répondre en promouvant une mobilité partagée.

« Notre combat n’est plus simplement d’offrir un transport ferroviaire, mais bien de nous imposer comme une plateforme d’agrégation qui permette de combattre l’autosolisme ». Benoit Tiers, Directeur Générale e.SNCF

Pour « apporter à chacun la liberté de se déplacer facilement en préservant la planète », le groupe ferroviaire innove en permanence pour rendre les transports partagés plus verts.

Cela passe, par exemple, par l’expérimentation des nouveaux RER hybrides de Transilien, les « Smartilien ». Ils sont équipés d’un système électrique innovant, qui permet un redémarrage moins énergivore grâce à utilisation de l’électricité stockée durant les phases de freinage. Le Smartilien offre « un gain de 30 à 50% d’énergie, moins d’émission de particules fines et de pollution sonore pendant les phases de freinage, et enfin, une réduction du réchauffement dans les tunnels », développe Martin Coyaud, Responsable projet au Centre d’Ingénierie du Matériel. Côté grande vitesse, le TGV du futur, dont le prototype sera dévoilé en 2020, apportera une diminution de la consommation d’énergie de 20% par rapport au TGV actuel. De plus, ses composants seront recyclables à plus de 95%. Ces nouvelles rames seront également capables d’accueillir un nombre de sièges plus conséquent.

Faciliter l’accès aux transports partagés, c’est aussi favoriser une mobilité plus durable. En matière de covoiturage, SNCF a également ses idées. Par exemple, iDVROOM propose une solution web et mobile multimodale (voiture et transports publics) pour des trajets de 10 à 100 km, partout en France. Stop connecté fournit un service combinant le covoiturage et l’auto-stop traditionnel, par simple envoi de SMS, pour aider à rejoindre une destination mal desservie par les transports publics.

L’avenir des services de mobilité se dessine aussi sur la qualité de l’expérience voyageur. SNCF, pour sa part, mise sur une mobilité personnalisée. Pour ceux qui préfèrent les réseaux sociaux aux applications, la recherche d’itinéraires et la réservation des billets peuvent désormais se faire via des chatbots, comme celui proposé par Transilien ou le OUIbot de OUI.SNCF, disponible également via l’enceinte connectée d’Amazon.

Quant aux avis et commentaires laissés en ligne par ses clients, le groupe ferroviaire les écoute dorénavant via Moodpeek, un outil d’analytics dôté d’algorithmes d’analyse sémantique. 

Les offres de mobilité doivent être accessibles et adaptées à tous. « Améliorer l’accessibilité du transport ferroviaire, c’est avant tout une aventure humaine visant à offrir toujours plus de liberté et d’égalité entre les hommes et les femmes de ce pays, quels que soient leurs besoins de mobilité », souligne Carole Guéchi, Directrice de l’accessibilité du groupe. Dans l’univers numérique, la même règle est appliquée chez SNCF. Pour preuve, le nouveau site www.sncf.com a reçu, en février dernier, le label d’accessibilité argent par l’association BrailleNet.  

Trains, bus, auto partage, vélos en libre-service, trottinettes… C’est avec une offre couvrant tous les besoins de mobilité que SNCF parviendra à fournir une expérience de voyage sans couture. Baptisée « assistant personnel de mobilité », cette future offre du groupe ferroviaire accompagnera chaque client dans son parcours de mobilité, au sein des métropoles, mais aussi dans des zones périphériques et rurales, peu ou mal desservies.