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Vivatech 2022 : Les Startups Stories #VIVASNCF – épisode 3

Le salon Vivatech est l’occasion pour le Groupe SNCF de faire connaître son écosystème de start-ups numériques de plus en plus riche. Ces partenariats permettent à l’entreprise ferroviaire d’être à la pointe de l’innovation, mais aussi d’assurer un ancrage local à travers tout le pays. Tour d’horizon des jeunes pousses qui font avancer le train en France.

Publié le

Par La Redaction

vivatech 2022

Le concept de Spectral TMS est une pratique qui se répand de plus en plus dans l’industrie : guider les techniciens en réalité augmentée grâce à des lunettes connectées. En lien avec la Fab AR / VR du Groupe SNCF, Guillaume Yzet, responsable commercial chez Spectral TMS, nous explique tout.

Des jeux de rôle ? Une interface vocale ? Reproduire et faciliter le contact client ? C’est ce que propose la startup Pitchboy, qui, en relation avec la Fab AR / VR et SNCF Voyageurs et Réseau, entraîne les agents chargés d’accueillir du public de façon ludique et efficace. Les détails avec Warren Coopman, directeur de l’équipe Sales.

Management, diversité en entreprise, meilleure mémorisation et empathie. Si la réalité virtuelle en entreprise est encore fortement marquée du côté technique, il existe aussi des utilisations davantage axées sur le management. La start-up Reality Academy propose, toujours en relation avec la Fab AR / VR, des formations à la gestion du personnel et à la diversité en entreprise, une approche qui favorise la mémorisation et l’empathie. Plus de détails avec Antoine Bernard, CEO et fondateur.

Antilogy est un cabinet de conseil qui s’est donné pour mission de former ses clients aux façons de faire et aux possibilités de la réalité augmentée, virtuelle, et du metaverse. À quoi cela peut-il servir ? Que peut-on faire, et ne pas faire avec ces technologies ? Présentation de cette startup avec Emilie Gobin, co-fondatrice.

Le flex office, c’est pratique. Mais comment s’organiser en déplacement sur le terrain ? Où se brancher ? Osol propose une solution pour l’alimentation électrique nomade avec des batteries en libre-service pour pouvoir travailler n’importe où, en collaboration avec la direction innovation et technique SNCF. Le concept avec Louise Beghin, Head of customer success.

Main dans la main avec le Rail Open Lab SNCF, la startup Activ’Motion offre une solution de communication sonore et d’écoute mains libres. Sans obstruer le canal auditif, cette innovation permet aux agents sur le terrain, et notamment à celles et ceux qui sont sur les voies de chemin de fer, de rester à l’écoute de leur environnement, tout en échangeant des informations par la voix avec des personnes distantes. Présentation avec Benoît Van Landeghem, président de Activ’Motion.

Le domaine de la vision par ordinateur est en pleine expansion, et intéresse fortement le Groupe SNCF, notamment pour la surveillance de ses milliers de kilomètres de voies ferrées. En partenariat avec la DGII du Groupe SNCF, l’entreprise Yumain apporte une solution d’intelligence artificielle embarquée dans des capteurs de vision. Le mot du directeur général de Yumain Marc Benoît.

La blockchain et sa technologie de réseau décentralisé, commence à s’implanter en dehors des cryptomonnaies. Elle séduit grâce au cœur de son concept : la confiance assurée par la cryptographie. À chaque étape de la chaîne logistique SNCF, la solution de Ownest permet de vérifier qui s’est occupé de la pièce jusque-là, et de stocker cette information de manière infalsifiable dans une blockchain dédiée. Plus de détails avec Clément Bergé-Lefranc, PDG et fondateur de Ownest, qui collabore avec SNCF Réseau.

Acheter son billet de train avec son smartphone est devenu une habitude pour beaucoup de Français, mais il faut généralement une application par réseau de transport (train, bus…). La start-up Airweb cherche, en collaborant avec SNCF Connect, à simplifier cette démarche en rassemblant l’achat de tous types de billet sur cette application. Nicolas Million-Picalion, directeur commercial de Airweb, nous explique tout.

La notion de sobriété numérique est relativement récente, et s’est construite par opposition à l’époque où la montée en puissance des ordinateurs et smartphones permettait de lâcher la bride sur la consommation en données et donc en énergie du fonctionnement des applications et des sites web. Avec la prise de conscience écologique, le numérique participe à l’effort de réduction de l’effet de serre grâce à des start-up comme Greenspector, qui permet à SNCF Connect, mais aussi aux sites et applications de SNCF Voyageurs et Réseau d’être plus efficace, et donc moins chers à faire fonctionner, mais aussi plus réactifs pour les utilisateurs. Un mot de Thomas Corvaisier, directeur de Greenspector.

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